Je m’enviai vous raconter l’histoire d’un joyeux trublion. Ce trublion c’est moi Mikele Corleone nan je ne suis pas pote avec Al Pacino inutile on me l’a déjà fait plein de fois. Rassurez vous malgré mon nom de famille, je ne suis pas de la Mafia Italienne. Mais en revanche vous avez raison sur un point je suis né en Italie d’une famille modeste. Mon dieu si ma mère s’attendait à avoir enfanté une hurluberlue comme moi. Enfin ma naissance fut un grand jour pour la famille j’étais le centre de toutes les attentions et je gradins dans la joie. Bon jusque là banal me diriez vous. Mais figurez-vous que pour une fois en grandissant je ne finis pas comme tout l’italien dans la jupe de leur Mama. Je grandissais très loin du stéréotype italien qui n’avait peur de personne mais qui, dès qu'ils se faisaient engueuler par leur mère rentrée à la maison bien sagement. Moi dès que j’avais une bêtise à faire j’étais le premier. A 10 ans, j’ai sauté d’un arbre jusqu’au balcon de ma chambre causant une grosse frayeur à ma mère. Au final je ne récoltais qu’une bonne claque ou une bonne fessée de mes exploits. Quand je n’étais pas en train de faire une connerie ou de me faire déculotter, je passivais pour la musique et l’art et appris très vite la guitare, la batterie et le piano. Puis la peinture et la sculpture. Ce qui me valut les premiers surnoms de « Mikelangelo » en référence au célèbre artiste italien, bande d’inculte.

Un jour l’entreprise où son père travaillait comme traducteur fut délocalisée aux Etat Unis. Et donc nous devions déménager. Bien que quitter mon pays natal me rendait triste, je me laissai emporter par le rêve américain. J’avais à peine 15 ans, j’étais encore tout jeune et plein de vie. On débarqua dans la ville de Ridgefield dans le Connecticut. Heureusement, grâce à mon père je suis devenu bilingue. Mes années Lycée commencèrent, ma plus belle année sans aucun doute. J’ étais devenu un beau jeune châtain clair au yeux bleus foncés couleur des abîmes de l’océan, le teint légèrement matte propre au rital et un accent italien à couper au couteau, que j’ai toujours d’ailleurs. On commençait par me surnommer « Al Pacino » ou encore « Le Parrain ». J étais toujours le premier à finir en colle et le pire c’était que je m’y amusai encore plus, je venais avec ma guitare en cours. Et puis le coup du Rebel avec la guitare dans le dos ça plait aux filles. Ensuite j’ai eu des aventures d’un soir, le maître mot était de donner du plaisir et de se faire plaisir. Je deviens un jeune homme Utopiste rêvant d’un amour parfait avec femme parfaite. En parlante filles, je remarquais que celles-ci se mettaient en route rien qu’en entendant mon accent. Allez savoir ce qui se passe dans la tête des femmes. Moi je ne cherche pas à les comprendre. Enfin malgré cela je réussis à obtenir mon Baccalauréat

20 ans a 20 ans pour la première fois mon cœur saigna il fut transpercé de par en par, brisé en mille morceaux. Cela avait commencé par une banale histoire d’un soir au restaurant ou j’avais été embauché comme pianiste. Bon on était loin de l’ambiance festive mais si je voulais avoir un minimum d’argent et ne pas compter que sur l’argent de poche que fournissait encore ma mère, et oui que voulez vous on ne change pas une bonne Madonna italienne qui gavera son poussin jusqu’à sa mort… Je vous jure même à 25 ans maintenant elle m’appelle pour pas que j’oublie de me brosser les dents bref reprenons. J’ai donc rencontré cette fille dans le restaurant où je bossais. On tomba vite amoureux enfin c’est ce que je cru. Malheureusement ce n’était qu’un amour à contre sens et je m’étais investi dans cette relation si bien, que je fis une dépression de 2 ans, puis grâce à ma famille et mes amis je remontais à la surface. Et je redeviens le fou chantant que j’avais toujours été. C’est à ce moment là que j’ai écris ma premier chanson. Ecrite et composé, du nom de « Debout les fous. Aujourd’hui j’ai 25 ans je me suis fais une petite réputation faisant quelques première partie de vieux chanteur. Bon je ne suis pas encore Michael Jackson, ou Lionel Ritchie mais j’espère avoir la même réputation .donc si le pseudo de « Amadeus » vous dis quelque chose c’est moi. Pourquoi Amadeus ? Mais Walofgang Amadus Mozart évidemment parce que comme lui j’ai commencé le piano à 5 ans bon évidemment je ne suis pas aussi surdoué que lui mais c’est un clin d’œil. Il sut que le maire de la ville avait organisé une sorte de réunion des anciens élèves. Je me réjouissais de retrouver mes camarades, ils verront que « al Pacino » n’a pas changé d’un poil